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23 juillet 2007 1 23 /07 /juillet /2007 22:35

Copie-de-CAARUJ71.jpg
JE VEUX REVER


 

 

 

  Certaines personnes se croient toujours placées au dessus des autres et se permettent de critiquer, de juger. Mais ces personnes qu’ont-elles acquis de plus que les autres, que vivent elles de mieux que les autres ? De peur de commettre une erreur, de peur du qu’en dira t’on, sur leur regard méprisant leurs seules richesses se lisent : dégoût, reproches, haine. Sous leurs jugements vous vous sentez rabaissé, écarté, incompris, humilié, rejeté de leur entourage, de leur groupe, de leur société.

           Société qui doit être faite pour eux et par eux. Boulot, dodo, compter et amasser leur argent, vivre une vie monotone et bien rangée avec leurs airs à ne pas toucher et moi je ne ferais pas celà ; se confesser pour de suite mieux sauter, mieux recommencer, mieux se donner bonne conscience ; pour mieux se cacher de leur imbécillité, de leurs défauts, de leurs faiblesses, de leurs médisances, le tout bien caché. Tout cela doit être leur nourriture quotidienne.

             Pour ces êtres soit disant si purs, soit disant supérieurs, vous devez être et vivre à leur image. Alors les moutons comptez vous et bêlez, parqués dans leurs pâturages. Je pense que beaucoup se mettront à bêler.

 

             Bê ! Bê ! Bê ! Petits moutons courez ensemble dans les prés.

             Bê ! Bê ! Bê ! Comme eux c’est peut être votre destinée.

 

             Tout en vous rabaissant, ces gens vous confortent dans la médiocrité, vous empêchant d’évoluer. Vous vouant directement à l’échec, vous êtes l’erreur, vous n’avez pas le droit de montrer votre savoir faire, vos vraies capacités, car vous risquez d’être meilleur qu’eux, et les rêveurs sont mal appréciés.

              De ces gens là j’en ai côtoyé pendant des années. Se prenant pour des seigneurs, plaçant les autres sous leur joug, dominant, humiliant les plus faibles. Attention prends garde à leur courroux. Quelquefois la malchance tourne, ces personnes se sentant supérieurs et irremplaçables, juchées sur leur piédestal, finissent par déranger et poussées vers la sortie perdent leur couronne.

               Pendant des années ces oiseaux de proies grignotent notre cœur, quand le leur s’éteint, pour eux nous n’éprouvons aucune émotion, juste de l’indifférence car les haïr serait encore les aimer, et leurs donner raison de leurs actes. Alors nous deviendrons comme eux.

 

    Tu es là près de moi, je serre le poing pour ne pas te frapper.

    Je ferme ma bouche, je serre les dents pour ne pas t’injurier.

    Même durement, j’ai besoin de gagner mon pain quotidien.

    Ayant une femme et des gamins je dois faire vivre les miens.

    Une chose est certaine, mon âme tu ne pourras la posséder.

    Et tant que je l’aurais il me sera toujours possible de rêver.

 

                 Dans ma vie je n’ai jamais voulu être ce mouton bien docile, alors sorti du lot, le mouton noir que je suis devenu en a bavé.

La haine, la rancune te rongent de l’intérieur, tu meures lentement à petits feux.  Malgré les péripéties qui s’en sont suivies, mes déboires m’ont appris à savoir respecter mon prochain, à savoir tendre la main à un plus faible, à être à l’écoute d’un plus défavorisé, à aider un homme dans la misère, dans la détresse. De ma mésaventure j’en suis sorti mentalement plus riche, plus fort, plus aimant, plus respectueux. A ouvrir mon cœur, à donner mon amour, à donner mon amitié j’ai découvert la vraie valeur du bonheur. Bonheur tu n’es pas grand-chose, je te tiens au creu de ma main et je ne te lâche pas.

                   Aidé par la camaraderie, par l’amitié, par l’amour je me suis sorti d’un long cauchemard. A présent vivant en permanence dans un long rêve, je ne veux plus qu’il s’arrête. De temps en temps pour profiter de la solitude je me retranche dans mon rêve. Si vous voulez m’accompagner un court instant, alors, CHUT !

                                                                                         JOEL
                                                           

 

              

 

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22 juillet 2007 7 22 /07 /juillet /2007 18:24
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   En passant KERMEBEL nous avions eu l'agréable surprise de pouvoir être photographieées devant ces chevaux. HELENA  les  reconnais tu ? Si c'est oui nous espérons te faire plaisir.

         Te rappelles tu de ces poèmes que tu m'avais ramené à corriger avant ton départ? Nous nous étions offerts notre amitié. Tu avais alors 14 ans et déjà vu notre différence d'age tu m'aidais  à surmonter ma tristesse.Je suis toujours près de toi par la pensée et je pense toujours à toi, la preuve:

 


MAIN DANS LA MAIN
  
                                                                                                                                                                                                               Ils se baladaient main dans la main                                                                                                                                                                                                   Et s’effaçaient toutes leurs peines, Copie-de-angedesu-3-.GIF

En me disant combien ils s’aiment.

Dans l’herbe près d’un ruisseau,

Un tout petit oiseau chantait

Autant qu’ils s’aimaient.

Sa tête était posée sur sa poitrine

Et il entendait battre son cœur.

Il venait de naître un bel amour

Au soleil couchant.

Et au soleil levant

Une pluie rafraîchissait l’air,

Mais  il faisait encore et pour longtemps

Chaud dans leurs cœurs.

                                                HELENA

  

             
tonnere.GIF

LE GRAND ORAGE

 

Lors de ce grand orage

Je sentis me monter la rage.

J’avais envie d’écrire

Tout ce que je pouvais dire.

Je ne pouvais pas agir

Et pourtant je voulais fuir

Ce grand orage qui me terrifiait.

Le ciel se couvrait, m’apeurait,

De gros nuages gris m’entouraient.

De me mutiler Dieu me grondait.

 

                                           HELENA

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21 juillet 2007 6 21 /07 /juillet /2007 00:38



Peinture à l'huile

Photo-train-658.jpg

                                                           LE CHEVAL BLEU

 

               Cette peinture à l’huile réalisée par ma fille Dédée et moi nous a causé un petit problème dès le début. Voulant la participation de celle-ci, connaissant son goût pour la peinture, la prenant sous mon aile depuis un moment la laissant travailler sur mes réalisations, je lui ai demandé de poser sa griffe et de nous montrer ses capacités en la matière. Bravant avec inquiétude et angoisse ses émotions, essayant de suivre le modèle ma  fille ayant trop  bleuté le visage et le cou de l’animal, voilà ce que nous avions obtenu. Après une vive discussion entre nous deux, celle-ci voulait recommencer son ouvrage et déçue parlait même d’abandonner la peinture, j’ai suivi la première impression et je trouve que le résultat est intéressant. Découragée, ayant peur des critiques, son jeune age la pousse à  baisser les bras Pour une jeune débutante je pense qu’elle mérite quelques encouragements, aidez moi pour lui dire de continuer et de persévérer dans cette voie. Aujourd’hui Dédée a 14ans et elle possède de belles années pour pouvoir s’affirmer dans cette activité. 
                                                                                    joel

                                                                                                                 
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21 juillet 2007 6 21 /07 /juillet /2007 00:31
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                                                              POPEYE

 

POPEYE ce jeune chien de 3ans sera ma future cible afin de pouvoir le peindre sur un tableau. Tableau que m’a demandé MARYLINE une de mes nombreuses amies. Quand j’ai une commande je suis toujours dans la crainte de décevoir en gâchant mon ouvrage. Va t’il plaire ce n’est pas si sur ! Je vais quand même me jeter à l’eau et on verra le résultat. Pour le moment il me faut un modèle et mon compagnon n’est pas facile à prendre en photos, son jeune maître étant absent l’animal bouge tout le temps, quel sport. ! Je devrais faire le tri pour trouver une bonne pose, je pense avoir trouvé. Dans les jours à venir je vais prendre mon temps pour me mettre à mes crayons et à  mes pinceaux ; je passerai le résultat sur mon blog.                                            joel
                                                                    

                                                                                                                    
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21 juillet 2007 6 21 /07 /juillet /2007 00:12

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QUE PEUT ON FAIRE DE MIEUX POUR S'OCCUPPER PENDANT LES VACANCES.
C'EST SIMPLE , BEAU ET ORIGINAL, BRAVO LES FILLES;

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20 juillet 2007 5 20 /07 /juillet /2007 20:19
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                                                      NEVEUX ET NIECE

 

 

 .                    Dès que notre voiture pénètre dans la cour du corps de ferme, les chiens aboient pour signaler à leurs maîtres notre venue. Curieux de connaître  les nouveaux arrivant déjà les gamins  montrent le bout de leurs nez. Heureux de notre visite le sourire aux lèvres, chaleureusement ils se jettent dans nos bras pour nous donner la bise traditionnelle. Les parents  fiers de leurs rejetons suivent le mouvement et nous accueillent avec chaleur. C’est la bonne maison, celle de CALINE et de son mari.

                        Avec ces enfants il est inutile d’élever la voix un seul regard suffit pour leur faire comprendre  nos désirs et nos réprimandes.  Le respect des grandes personnes est d’actualité et est respecté à la lettre. Des enfants bien élevés me diriez vous ! Quelque chose d’appréciable vu  les changements de mœurs de notre société où les parents ne rattrapent plus  les dérapages et ne corrigent plus leurs enfants. Dire bonjour, merci, s’il te plait, pardon sont des mots bannis chez la plupart des gens, alors pourquoi que les enfants le diraient à leur tour.

                         Quand nous avions besoin de l’aide, il suffit de demander et les enfants nous prêtent toute leur attention. Les gars participent avec courage et ardeur et les filles nous ouvrent leurs bras et leurs cœurs.  Recevant le respect, l’aide, l’affection et un câlin de ces jeunes que demander de plus !

 

                                                             JOEL


                                        PAPA JE T’AIME

 

               Depuis quelques temps ces mots de souffrance que tu me confias à l’oreille, sous ton autorisation afin qu’ils servent aux plus jeunes des filles, je vais les écrire. Pères de famille vous qui êtes absorbés par le temps passé à gagner votre argent au travail ; vous qui êtes débordés par la vie trop courte qui passe ; vous ne voyez pas la détresse de vos filles qui se sentent abandonnées en affection, faites un petit effort et ouvrez tous grands vos yeux et surtout votre cœur. Une attention de votre part pourrait réchauffer certains cœurs. Juste une petite attention,  un petit câlin de temps en temps, une simple caresse, un baiser. Ce n’est pas dur, cela ne coûte rien, si juste un peu de votre temps !

                  

                    Aujourd’hui samedi la petite famille s’agrandit, journée spéciale et attendue où les couples nous rendent visite avec leur petit monde. Lien familial ! Lien sacré !

                    Attablés autour d’un bon café les conversations s’animent en parlant des enfants, de notre passé, de notre avenir, des problèmes quotidiens. Chacun essaie d’apporter ses idées, ses témoignages, son avis sur les différents sujets. Toutes les idées sont bonnes pour avancer, si minimes soient elles.

                    Profitant que je papote en agitant mes mains, la plus grande de mes filles, féline se glisse sur le banc près de moi, s’asseyant à mes cotés non pour suivre les potins mais avec une idée bien précise en tête, celle de profiter de ma distraction pour venir me voler au passage un calinou. Quoi de plus naturel chez une fille que d’être proche de son père et d’essayer de se blottir dans ses bras. Ah ces filles voleuses de tendresse !               

                     Placée en retrait avec des yeux grands ouverts d’envies, me dévisageant, me faisant comprendre sa présence, une de mes nièces plus âgée que celles du groupe ici présentes me fixe exagérément pour attirer mon attention. Son regard dont je comprends le sens me perce le cœur. Je connais ses envies : celle de venir se blottir dans mes bras, celle de chercher la moindre caresse, la moindre affection, le moindre mot de tendresse, d’encouragement, de compassion, une parole amicale, un simple regard avec un petit sourire lui suffirait pour la transformer en une fille comblée d’affection. Le bonheur est peu de chose !

                     Ton regard je le connais, déjà petite fille tu me suivais partout, étant présente près de moi, écoutant la moindre de nos conversations d’adultes, je me suis senti obligé de t’écarter de ma présence, en effet celles-ci ne te concernaient nullement. Pour toi celles-ci ne t’intéressaient pas, c’était ma présence qui importait à tes yeux, et le fait de pouvoir m’approcher afin que je m’intéresse à ta petite personne était pour toi  un cadeau du ciel et ce cadeau tu ne l’aurais sûrement pas partagé avec autrui

                     Vu ton jeune age, mon devoir d’homme me disait de m’éloigner de ton pouvoir de séduction afin de mieux te protéger. Belle tu l’es et depuis ta tendre enfance je t’ai vue te transformer. Depuis ces dernières années trop de méfaits se sont passés et ont été dévoilés justement par des relations proches qui ont été dépassées par leurs sentiments, leurs envies, leurs déviances. Trop confiantes les familles ne se méfient pas assez des relations amicales, fraternelles entre leurs enfants et leurs amis, leurs parents, leurs voisins. Combien de malades ont déjoué la confiance des parents afin de pouvoir accomplir leurs violences, leurs crimes sexuels sur ces enfants, sur ces adolescents.

                     Pourtant tes parents sont tous les jours présents à tes cotés. Le fait que depuis ton enfance, ne puisant la force  de trouver les mots qui conviennent pour leurs dire ton affection pour eux ; le fait que tu ne trouves pas le courage de t’abandonner pleinement dans les bras de Papa que tu aimes sincèrement, et de pouvoir lui dire délibérément : « Papa je t’aime ! » ; le fait que dans ton papa tu voudrais trouver ton idole pendant ta vie de jeune fille, font que tu retournes ton attention, ton affection, cet amour qui devrait lui être destiné sur moi en fonction de la difficulté de lui annoncer ton amour de fille.

                     N’osant parler avec ton père comment cela se fait il que tu m’ais choisi alors que je ne suis que ton oncle ;  pourtant je suis râleur, coléreux, instinctif, changeant, capricieux. Cela ne fausse aucunément  ton jugement. Après de longues conversations diverses tu m’as confié sans honte, comme si j’étais ton père, ces quelques paroles que tu aurais voulu lui faire entendre : « Papa je t’aime, regarde moi dans les yeux, j’ai vraiment besoin de ton sourire, de tes mots doux, de tes câlins, de tes caresses de toute ta tendresse, d’un petit moment d’affection, d’attention rien qu’un petit moment pour moi toute seule. Papa pour une fois ouvre moi grands tes bras que je puisse me blottir tout contre toi, au moins une fois ! Donne moi comme tous les pères qui adorent leur fille, donne moi la chaleur de ton cœur, dis moi ces mots que j’envie tant d’entendre ! Un seul je t’aime me suffirait ! Sache que je souffre de ton silence, de ton inaction à me prendre tout contre toi. Papa réveille toi, ma jeunesse fout le camp ! Ma vie m’appelle, après ce ne sera plus pareil, le cordon qui me lie à toi ne va pas tarder à se rompre car je suis devenue majeure il n’y a pas si longtemps.

                     Depuis ta majorité quand j’aperçois ton regard qui me fixe, en accord  et ayant prévenu mon entourage de mon affection pour toi, j’ouvre tous grands mes bras et tendrement je te serre tout contre moi te donnant la tendresse que tu souhaitais.

                     Si j’ai écris ce texte ce n’est point pour juger les parents, je n’ai aucune morale à faire, dans mon entourage beaucoup de jeunes filles éprouvent le besoin de me raconter la détresse qu’elles éprouvent devant ce gros problème qui les perturbent. Si cela pouvait ouvrir quelques yeux aux pères de familles, ces filles auront avancées énormément au point de vue affectif. Même si je sais que mon article ne sera pas lu je devais bien cela aux filles qui m’apportent toute leur attention.                         JOEL      

 

                                                  

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20 juillet 2007 5 20 /07 /juillet /2007 20:07

DROLES DE FORMES

 

                           Très trapue la mienne a une drôle de forme

Bien trop souvent je me sers de sa belle paume.

A peine poilue elle est très douce au toucher,
Il faut douter à force de la caresser.

 

Très souvent tu peux la serrer de tous tes doigts,

Mais trop embrassée elle rougira d’émoi.

Bien câlinée elle suintera de bonheur,

Mais trop angoissée elle mouillera donc de peur.

 

La vie est longue donc je dois en prendre soin,

Savoir bien l’utiliser quand j’en ai besoin.

Puis de temps en temps faisons lui une beauté,

Lavée, astiquée on peut venir l’admirer.

 

Mais si un de ces jours vous me la refusiez,

Par manque d’affection, d’amour ou d’amitié,

Timide dans ma poche elle se cacherait,

Sauf la chaleur humaine la déciderait.

 

En faisant partie de mes chères extrémités,

J’ai bien sur le devoir de bien la protéger.

Membre de précision, outil perfectionné,

Je parlais de ma main vous l’aviez deviné.

 

    JOEL




 

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20 juillet 2007 5 20 /07 /juillet /2007 20:02

La plage en été


 

L’ETE  ARRIVE

                                  

Souffle le vent sur les derniers nuages blancs,

Repose en paix pour un an mon joli printemps.

Sèche bien ces dernières larmes de rosée,

Laisse vite la place au soleil de l’été.

 

Enfin retrouvons la gaîté de nos fanfares

Animant les bons pardons de leurs tintamarres,

Accompagnant  toutes les jolies majorettes

De leurs grosses caisses et de leurs trompettes

 

Les plages désertées l’hiver reprennent vie

Sous les jeux, les rires des enfants et leurs cris.

La moindre parcelle de sable est occupée,

Le monde profite de la chaleur trouvée.

 

Les promeneurs marchent sur les sentiers côtiers,

Se perdant dans les genets, les landes brûlées.

Les falaises grouillent de ces nombreux oiseaux,

Sur la mer recouvrant de blanc tous les îlots.
 

Les chaudes journées ne vont pas durer longtemps,                 
Alors commençons donc par fêter la st Jean.                                                                       
Le quatorze juillet allumons les lampions.

Profitons l’automne sera vite aux tisons.

  

  JOEL

 


 

 

 

 

 

 

 

.

 

 

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20 juillet 2007 5 20 /07 /juillet /2007 19:56

 

                                                                  

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peinture à l'huile

     

                                          LA FERME POUR CALINE

 

 

                Eté 2006 , ardoise réalisée avec l’aide de mes deux filles, Dédée 13 ans qui a peint une partie des maisons et de Momo 8 ans qui a coloré le ciel. Et oui la matière rugueuse, bosselée de l’ardoise diffère avec le papier. Nous n’obtenons pas facilement le résultat souhaité, le fond déjà bleuté de l’ardoise peut changer les couleurs, la déformation de l’ardoise peut nuire à la perfection du trait pendant l’esquisse, à l’étalement de la peinture lors de la mise en couleur.

              Plusieurs fois j’ai entendu des plaintes, des petits cris de découragements, mais sous notre tonnelle le beau soleil de cet été a eu raison de leur patience et leur a rendu du baume au cœur pour accomplir leur ouvrage. Patience mes filles, prenez tout votre temps ! D e temps en temps lâchez vos pinceaux et détendez vous, vous avez toutes les vacances pour terminer votre ouvrage ; si vous n’arrivez pas papa est encore là pour vous conseiller et pour vous aider.

             .Cette ardoise mérite d’être exposée aux rayons du soleil sur un mur de pierres où les jaunes clairs illuminent mieux les reflets de lumières. Dans la fermette de Caline cette ardoise a su trouver sa place. Mes enfants ne m’en parlent pas mais à chaque fois qu’ils approchent de leurs réalisations je pense qu’ils doivent être fiers d’avoir coopéré avec leur papa. Au fait le plus fier dans tout cela je crois que c’est encore moi.

                                                                                             joel

                                                                                     

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20 juillet 2007 5 20 /07 /juillet /2007 12:26


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LE DUMPER



Bang! Bang! La benne se lève tout doucement.
Bang! Bang! Dans le gueulard vide son chargement.
Les gros cailloux roulent et leurs lourds poids les entraine,
Poussant un bruit assourdissant contre les chaines.
De grands coups sur la pédale d'accélérateur
En font vibrer de rage le puissant moteur.
L'impressionnant dumper vert immense s'élance,
Et sur la rampe raide reprend sa cadence.
En descendant vers le trou à toute vitesse,
Rapidement le chauffeur serre les deux fesses,
Avant d'appuyer sur la commande de frein,
La sentant résister jusqu'au bout de ses reins.
Malheur au camion qui croisera son chemin.
Bien sanglé sur son siège, lui ne risque rien.
Tous deux faisant corps, l'énorme machine et l'homme
Redescendent la longue piste, cahin cahan,
Très chahutés sur les bosses évidemment.
La machine se gare sous le lourd godet,
Patiemment le bras tendu la pelle attendait.

     JOEL

 




 


 

 

 

 

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