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26 mars 2010 5 26 /03 /mars /2010 00:00

                                      

                                      L’EMBAUCHE

 

                                       Aujourd’hui journée comme tant d’autres, sans entrain, parcourant le chemin à pieds pour me rendre à mon lieu de travail, au bout de la rue apercevant les bâtiments administratifs mon pas ralentit, déjà ma gorge se serre, les nerfs de mon ventre se nouent. La nuit mouvementée, rien que de penser au lendemain m’a gâché mon repos. Longue nuit de réflexion, de solitude, où votre subconscient vous rappelle la journée précédente, où vous vous posez toujours les questions  quelle erreur ai-je pu commettre, à qui ai-je pu causer du tord, qu’ai-je pu dire pour déplaire, suis-je apte à faire partie de cette entreprise ? Une partie de la nuit vous chercher et cherchez encore, vous tournez dans votre lit, le sommeil ne vient pas. L’obsession vous gagne, combat inégal et perdu d’avance, les images défilent et défilent encore, envahissent votre tête, vous plongent dans votre idée fixe tout tourne autour de vous, le lit bouge une sensation étrange de déséquilibre envahit votre cerveau, vous vous accrochez aux draps aux bords du lit  le vertige est interminable. Avant juste de pouvoir une fois pour toute fermer les yeux, vous trouvez la réponse, c’est vous l’erreur. Mais les heures défilent et la fatigue ne s’élimine pas. Avant de commencer vous êtes déjà vidé. Les muscles contractés à froid dégagent leurs douleurs. Chaque pas chaque enjambée demande un gros effort. Encore une journée où il va falloir payer et encore payer cette dette. Un sentiment de crainte, d’impuissance, de dégoût m’envahit. Mais ma force je la puise dans mon courage, dans ma volonté, dans mon obstination à vouloir m’imposer, à vouloir et pouvoir tout supporter. Je suis là, j’existe. Je ne vous cèderai pas cela reste ma devise.

 

                  Nonchalants, mal réveillés les employés franchissent le portail grand ouvert accueillant ceux qui se sentent bien, à l’aise pour gagner leurs sous. Pour moi cela devient ma porte de prison. Pour quelques heures adieu liberté, bonjour brimades, bonjour vexations.

 

                   Une fois franchi ces barreaux invisibles avec l’appréhension de recommencer une journée néfaste et accoutumée, le sang afflue dans ma tête tape et retape par saccades dans mes tempes. Cauchemar. Toujours ce cauchemar matinal. Avançant, évitant les ouvriers dont ma présence dérange, fuyant les regards incriminateurs de certains dès mon approche, entendant leurs pensées qu’ils essaient de dissimuler sous leurs airs de fau jetons, restant poli je leurs rends un bonjour furtif. Qu’est ce que je leur ai fait ? Que leur dois je ? Pour qui se prennent ils ?

 

                   Trouvant un camarade isolé plus compréhensif que les autres et qui accepte ma présence, près de lui je trouve un peu de réconfort. Ce qui m’engage à tenir le coup et à supporter l’affront du matin. Retirés à l’abri sous le hangar, ces seigneurs se  rangent par ordre d’importance, de hiérarchie  dans «  la boite », présents sur les lieux  au moins une bonne demi heure avant les autres afin de pouvoir transmettre leurs potins leurs médisances leurs critiques. Les langues se délient, les regards en disent long. Quels éclats ! Quelles lumières !  Pourquoi les hommes sont ils aussi haineux, aussi méchants, aussi cruels. Pourquoi ne se regardent ils pas avant de causer, de juger ? Il est plus facile de reconnaître les défauts, les méfaits des autres qui ne sont pas à leur image. Il est plus facile de venir commander les autres à l’extérieur plutôt que de commander chez soi. Beaucoup vous juge sur vos connaissances au boulot mais pas sur vos connaissances humaines, pourtant beaucoup aurait à apprendre. Au moins à savoir aimer et à savoir respecter son prochain. Ah  ces élites ! Les meilleurs des meilleurs ! Hommes sans défauts, hommes sans faux pas, la pureté même des entreprises, les favoris des chefs, les lipeurs des patrons se placent eux-mêmes sur un piédestal. Messieurs les sulbaternes applaudissez et attendez votre tour, il viendra bien un jour car de votre méfiance, de votre indépendance, de votre retrait à les suivre, ils arriveront à vous soudoyer. A ces suserains apportez leurs couronnes avant l’embauche que tout le monde les admire.Toujours dire, toujours faire comme eux. Autrement gare à vos fesses, la dénonciation est proche, la sanction va suivre. Pénitents comptez vous.

 

                 Les équipes étant désignées, contrarié du choix pris je me rends tête baissée vers le véhicule qui m’attend pour me ramener sur le lieu de travail. La journée va être longue, très longue je le ressens. L’intuition. L’habitude. Il faudra tenir. C'est ma destinée.

 

                                               JOEL    

 

 

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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 18:54

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                                                  MON AMANT

 

 

            Pendant ma jeunesse, pendant une période de dix ans, j’ai fait la connaissance d’un amant. Au début j’étais timide et il m’aidait à être joyeux pour courtiser les filles ; pour prendre de l’assurance auprès des copains. De sa part c’était un plaisir d’avoir de l’aide. Mais plus je le côtoyais, plus il prenait de l’importance sur moi, jusqu’à avoir une présence lourde et envahissante. Les jours, les mois passèrent en sa compagnie. Il arrivait à soudoyer mon moi intérieur, à le dominer, l’incitant à s’enivrer afin d’être toujours le meilleur aux yeux des autres.

 

            A chaque fois qu’il fouillait mon intérieur, sa semence son venin injecté dans mon sang gonflait mes veines, chauffait mon corps, activait mon esprit, incitait mes nerfs. Nous deux ne faisions qu’un. A l’oreille il me criait de danser, alors nous nous lancions sur la piste. On  poussait les gars, les filles. De force tout le monde valsait de nos bras. La musique nous mettait en transe. Nous claquions dans nos mains. Nous tapions des pieds. Nous sautions sur place. Nous chantions. Nous crions. Nous dansions. Nous hurlions. Nous gesticulions. La piste seule était à nous, gare aux opportuns. Les autres de peur n’osaient s’aventurer, nous connaissant évidemment. Nous étions là pour la soirée.

 

               Nos réactions étaient vives. La musique entrait en nous, nous chauffait le corps. Nous transpirions. Elle nous incitait l’esprit. La salle Ahurie nous regardait. Mon amant et moi étions deux, unis, heureux. Je n’étais plus moi mais lui. Vers la fin de la soirée, je lui criais de me laisser, mais il insistait pour rester. Je lui criais de me laisser mais il continuait de danser, insouciant, seul au monde ; adieu les problèmes ; adieu le boulot ; adieu tout le monde. Tout tournait autour de nous. Je suis seul au monde ! Laissez moi !  Son venin m’embrasait. Je buvais encore et encore. Je perdais la notion du temps, Je perdais pieds, je titubais. La musique grondait. Mon esprit bouillait. Ma tête gonflait. Mes yeux sortaient par l’ivresse. Je lui ordonnais d’arrêter de m’entraîner, de me laisser. Mon amant me possédait, m’injectait une overdose. Non ! Non !  Mon corps tremblait. Je voulais sortir le venin de moi mais il s’accrochait. Je tirais mes vêtements pour qu’il n’est plus de prise, pour qu’il lâche mon corps et glisse sur le parquet. Il m’injectait une autre dose. Non ! Non ! La musique me droguait, m’enivrait. Ma tête va éclater elle me rend fou ! Assez ! La piste tourne. Je suis SUPERMAN ! JesuisBATMAN! Écartez vous je vole ! Je suis TARZAN! J’attappe les lianes, je m’élance ! Les tables, les chaises, les bouteilles valsent en tous sens. Mon amant s’amuse il ne peut se retenir, il incite les gens. Les coups de poings s’échangent mon amant ne désarme pas.. Les spectateurs entrent dans la danse, me saisissent je me traîne à terre. Que veulent ils ! Je m’amuse, je suis la pour m’amuser. Ils me frappent, me tirent les cheveux. En crise je me débats. A quatre, à cinq ils saisissent mes jambes, mes bras, je crie. J’hurle. A la  porte du disco ils m’éjectent comme un sac poubelle sur le trottoir. j'essaie de me relever, je ne peux pas. Mon amant ne peut m’aider tant je suis ivre. De cette soirée il a gagné, ce qu’il voulait, je n’ai pu lui refuser. On me laisse la seul à terre sous les projecteurs des lampadaires. Débrouille toi, rentre chez toi !

 

                Le matin j’ouvre  un œil puis deux. J’observe autour de moi. Fatigué mon amant me surveille, il perd prise mais il sourit, il ricane, il se moque de moi. Il sait que la journée va être dure. Je soulève lourdement la tête, elle me fait mal sous les coups de tambours. J’entends toujours de la musique. Ah oui, le dancing ! Une fois de plus je me trouve en fâcheuse posture. Je ne peux continuer ainsi. A chaque sortie j’ai le même comportement. Comment faire pour arrêter !

 

                 Je n’ai plus de volonté, je perds tout à chaque sortie ; je rentre dans des états accompagné de mon amant. Cela ne peut plus durer il faut prendre une décision. Au bout de dix ans j’ai le droit de vivre seul, je décide d’aller en cure pour me soigner. Avec mon amant je divorce je ferme les cuisses. Au bout j’ai la liberté, vive la liberté !

 

                 Depuis toujours à l’affût d’une rechute, il me surveille. Il attend un moment de lâcheté pour intervenir et posséder de nouveau mon corps. Je n’ai pas le droit de faire un faux pas. Je sais qu’il me suit jour après jour, mois après moi, années après années mais je ne lui cède pas. Au contraire auprès d’amies  je forge ma volonté. Amant je ne veux plus te recevoir à ta place j’ai pris femme et amies. Je suis entouré d’amies sincères et dévouées qui j’en suis sur auront compris mon histoire et ne me laisseront pas tomber. Peut être qu’un jour mon histoire je la raconterais entièrement en disant la vérité. Je la dois à mes amies. Pour une fois je ments je l’ai déjà écrite. Plus tard sur votre demande je vous la remettrais même si je dois perdre ce qui m’est le plus précieux, votre amitié.         JOEL

 

                                                                                  

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                                                                        combat le bien contre le mal

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26 septembre 2008 5 26 /09 /septembre /2008 15:49

                       Ayant reçu ces photos concernant le levage du dumper qui s'était retourné dans une carrière je vous présente ces quelques photos. Le chauffeur s'en tirant sans gravité je me permets de le faire car c'est toujours impressionnant  d'observer ces manutentions.


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Une grue de levage de 200 tonnes LIEBHERR

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LES CONTRE POIDS
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Le dumper se soulève doucement de la rivière
 
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Pour cette grue cela est aussi léger qu'une puce

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40 tonnes au bout de la flèche



JOURNEE INHABITUELLE 

 

Aujourd’hui est une journée mouvementée :

Changement de lieu, d’équipe, tout a changé.

De suite l’adaptation devient difficile,

Sous les remarques, les ordres bien imbéciles.

Pour plaire ma cadence doit être augmenter

Sur un engin dont je ne suis habitué.

Cette ronde matinale augmente son rythme,

Le ronronnement de ces moteurs le confirme.

Les énormes cubes d’acier forts bien chargés

Evoluent dans ce relief accidenté.

Soulevées par les roues les poussières se lèvent,

Cette carrière offre son spectacle de rêve.

Vis-à-vis des autres me remettant à jour,

Les automatismes viennent après plusieurs tours.

Le véhicule immobilisé tout conforme,

Vidant mon chargement sur cette plate forme,

La benne simplement vidée de la moitié,

Tout surpris je sentis l’avant se soulever.

Le fait de sauter n’aurait point été sage,

En moi rapidement défilent des images.

Pensant que ma dernière heure est bien arrivée,

Par réflexe au volant je me suis accroché.

Tout tremblant, hurlant, éjecté comme une feuille,

Quand tout s’arrête une main tendue me recueille.

Nous éloignant vite de ce cercueil de fer,

Encore commotionné par ce fait divers,

Courbaturé, souffrant de plusieurs ecchymoses,

D’aller consulter fut la meilleure des choses.

Se déplaçant sur les lieux les sapeurs pompiers

A l’hôpital  le plus proche m’ont expédié.

Reprenant mon travail au bout d’une semaine,

Ma peur s’étant envolée qu’à cela ne tienne,

Sur ces engins j’ai continué mon métier

En parcourant les pistes de divers chantiers.

Mes compagnons me soulagèrent de l’histoire,

Ne me rendant pas responsable des déboires.

Une chargeuse au pied de ce fameux remblai,

Sans que je ne le sache le manipulait.

Erreur de communication, erreur humaine,

Tout se termina sans trop de casse ni de peine.
 

Joel


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on le pose et après un petit retournement

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on

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le retourne

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sur ses roues

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un joli palan

Un grand merci pour m'avoir remis ces photos. Le poème et les images ne sont pas compatibles. 

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11 mai 2008 7 11 /05 /mai /2008 21:31
Par amitié pour mon amie CLAIRE  et son mari ZHOM qui est victime de cette terrible maladie.

S.L.A

 

Parce que de temps en temps il faut en parler,

parce que nous, on ne peut oublier,

parce que vous, vous pouvez nous aider.

du 10 mai au
21  juin 
2008
Tour de France
Tour de l’Espoir
à vélo par quatre Surgériens:
J-Paul Cougnaud, A. Bénéteau

B.Veteau et J-Pierre Gonzalès
afin de récolter
des fonds pour

Les Papillons de Charcot
départ-arrivée à

(17) Surgères  

 

Créée  en   janvier   2006,   l’association

Les  Papillons  de  Charcot

 

se  propose  de rassembler et  de construire  autour  d’hommes et de femmes

dont  la  vie  a basculé le jour où ces 3 lettres :

S L A

 

( Sclérose Latérale Amyotrophique )

sont apparues dans leur existence.

 

N'hésitez pas à mettre ce message sur vos blogs,

forums, etc...

Merci.

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14 mars 2008 5 14 /03 /mars /2008 20:39
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Ces engins se composent d'une plate forme horizontale montée sur chenilles. On place la tête de forage ou tarière  dans la direction à percer et un tuyau enfoncé à la suite récupère les débris

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                                Pour la réalisation de la pose soutérraine de canalisations de gaz, d'eau de cablages divers, on utilise des foreuses horizontales  du genre de celles ci. Cela permet  en une plus grande sécurité de passer sous les routes et sous des endroits délicats sans être obligé d'ouvrir des tranchées immenses dans  les  chaussées très fréquentées ou dans des endroits impossibles  tout en respectant l'environnement.
                                 Actuellement ces deux machines sont mises en application dans la région de MORLAIX au niveau du centre de secours de  kerfraval sur l'ancien axe de PLOUIGNEAU. 



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6 mars 2008 4 06 /03 /mars /2008 23:12

                                                    Ces engins se trouvent dans une autre carrière du groupe. Je vous les montrent juste pour le plaisir des yeux. Personnellememt je ne les ai jamais vu. Je pense que cela ferait rêver plus d'un chauffeur d'engins de pouvoir conduire de telles machines. Voici quelques photos  que mon colègue m'a remis .

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Dumper CATERPILLAR 777D


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Chargeuse 992

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TEREX 45

 




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Ravitaillement d'un convoyeur et foreuse

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VOLVO A35D





 


 
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6 mars 2008 4 06 /03 /mars /2008 14:42

                                 Exploitant annuellement environ 240 000 tonnes de cailloux la carrière du DIVIDOU emploie une pelle LIEBERRH954,  un dumper EUCLID pour l'exploitation,  une chargeuse VOLVO pour servir la clientelle en agréats, actuellement un dumper articuléA35 VOLVO en location, une chargeuse CATERPILLAR 950, une mimi pelle VOLVO pour le nettoyage divers.

CHARGEUSE VOLVO

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CONCASSEUR MOBILE

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Allant servir de rond point dans la carrière cet ancêtre a trouvé une belle tenue bleue.

DUMPER ARTICULE VOVO A 35 D



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D'un tonnage de 35 tonnes dans la benne  ces dumpers passent dans les endroits les plus difficiles. Enclanchant les 6 roues motrices ceux ci grimpent les pentes les plus diverses.

CHARGEUSE CATERPILLAR 950

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MINI PELLE VOLVO

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TONNE A EAU 

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6 mars 2008 4 06 /03 /mars /2008 13:31
                   Cette année notre carrière a fait l'acquisition d'un nouveau dumper.Un d'occasion me diriez vous! Oui je l'admets mais cette machine est à mon goùt et très confortable à conduire, ce n'est pas la Roll Royce mais ces 6 cylindres en ligne donne toutes leurs puissances.Ce dumper est prévu pour une capacité de benne de 36tonnes.  D'ou son nom EUCLID R 36.  Son poids en charge avoisine les 70 tonnes.

 Comme un rayon de soleil se levant le matin sur notre carrière voici  notre EUCLID R36

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A la butte le dumper se fait charger par la pelle Liebherr 954.

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Déchargement de 0/15 en stockage dans le fond de la carrière.  L' échelle pour monter dans la cabine.

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Chargement  de blos cassés au brise blocs pour ravitailler le concasseur. Le poste de conduite.

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Sortie de la marre d'au.

 

Moteur 4 temps Volvo 6 cylindres en ligne d'une puissance de 400 cv.

IMG_9184.jpg Chargement par la chargeuse Caterpillar 950.



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Une vue très dégagée sur l'extérieur. Avec un empattement de 4m cela n'est pas négligeable.



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 Descente de la rampe menant au concasseur. En photos cela fait paysage désertique

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  Les chaines retenant les blocs avant d'être avalés par les mâchoires du concasseur.

 

La boite de vitesses et poumon de freins

                          
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18 décembre 2007 2 18 /12 /décembre /2007 21:26

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Les cascades pleurent des larmes de cristal.

                                 Décembre 2007 les premiers frimats ont commencé par se faire ressentir,  dans le jardin les cascades du  bassin scintillent de leurs glaçons dès le lever du soleil.  La gelée matinale recouvre la végétation de son blanc et léger manteau laissant frissonner de froid les quelques oiseaux qui cherchent leur pitence, mais ils savent que les humains pensent à eux et sans se cacher s'aventurent devant les porches des maisons où quelques miettes de pain seront gettées ou quelques boules de graisses seront accrochées sur des promontoirs à leur intention.

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                                   La gelée fit aussi sont apparition sur les pare brise des véhicules laissant leurs morsures de froid  sur le verre, dessinant de leurs pinceaux leurs plus belles toiles représentant de légères  fougères de glace.

Miroirs sur bassins

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Mon bassin de jardin, la glace fond dès les premiers rayons.

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Le port de MORLAIX, les bateaux frissonnaient dans l'eau recouverte d'une épaisseur de glace. 

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16 décembre 2007 7 16 /12 /décembre /2007 22:26
               Comme tu as su me toucher lors de ma remise de médailles , je voulais te toucher à mon tour et lors d'une petite promenade l'occasion s'est présentée, dans un champs se trouvaient tous ces ânes et la tentation fut trop grande . Que ne ferais je pas pour une amie§ Vite l'appareil de photos! Mais j'avais beau les appeler pour qu'ils s'approchent , néni  ils ne connaissaient pas mon amie et s'en moquèrent royalement. Mais le résultat est réussi et la surprise aussi . J'espère t'avoir fait plaisir c'est cela l'amitié!
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