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20 juillet 2007 5 20 /07 /juillet /2007 20:19
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                                                      NEVEUX ET NIECE

 

 

 .                    Dès que notre voiture pénètre dans la cour du corps de ferme, les chiens aboient pour signaler à leurs maîtres notre venue. Curieux de connaître  les nouveaux arrivant déjà les gamins  montrent le bout de leurs nez. Heureux de notre visite le sourire aux lèvres, chaleureusement ils se jettent dans nos bras pour nous donner la bise traditionnelle. Les parents  fiers de leurs rejetons suivent le mouvement et nous accueillent avec chaleur. C’est la bonne maison, celle de CALINE et de son mari.

                        Avec ces enfants il est inutile d’élever la voix un seul regard suffit pour leur faire comprendre  nos désirs et nos réprimandes.  Le respect des grandes personnes est d’actualité et est respecté à la lettre. Des enfants bien élevés me diriez vous ! Quelque chose d’appréciable vu  les changements de mœurs de notre société où les parents ne rattrapent plus  les dérapages et ne corrigent plus leurs enfants. Dire bonjour, merci, s’il te plait, pardon sont des mots bannis chez la plupart des gens, alors pourquoi que les enfants le diraient à leur tour.

                         Quand nous avions besoin de l’aide, il suffit de demander et les enfants nous prêtent toute leur attention. Les gars participent avec courage et ardeur et les filles nous ouvrent leurs bras et leurs cœurs.  Recevant le respect, l’aide, l’affection et un câlin de ces jeunes que demander de plus !

 

                                                             JOEL


                                        PAPA JE T’AIME

 

               Depuis quelques temps ces mots de souffrance que tu me confias à l’oreille, sous ton autorisation afin qu’ils servent aux plus jeunes des filles, je vais les écrire. Pères de famille vous qui êtes absorbés par le temps passé à gagner votre argent au travail ; vous qui êtes débordés par la vie trop courte qui passe ; vous ne voyez pas la détresse de vos filles qui se sentent abandonnées en affection, faites un petit effort et ouvrez tous grands vos yeux et surtout votre cœur. Une attention de votre part pourrait réchauffer certains cœurs. Juste une petite attention,  un petit câlin de temps en temps, une simple caresse, un baiser. Ce n’est pas dur, cela ne coûte rien, si juste un peu de votre temps !

                  

                    Aujourd’hui samedi la petite famille s’agrandit, journée spéciale et attendue où les couples nous rendent visite avec leur petit monde. Lien familial ! Lien sacré !

                    Attablés autour d’un bon café les conversations s’animent en parlant des enfants, de notre passé, de notre avenir, des problèmes quotidiens. Chacun essaie d’apporter ses idées, ses témoignages, son avis sur les différents sujets. Toutes les idées sont bonnes pour avancer, si minimes soient elles.

                    Profitant que je papote en agitant mes mains, la plus grande de mes filles, féline se glisse sur le banc près de moi, s’asseyant à mes cotés non pour suivre les potins mais avec une idée bien précise en tête, celle de profiter de ma distraction pour venir me voler au passage un calinou. Quoi de plus naturel chez une fille que d’être proche de son père et d’essayer de se blottir dans ses bras. Ah ces filles voleuses de tendresse !               

                     Placée en retrait avec des yeux grands ouverts d’envies, me dévisageant, me faisant comprendre sa présence, une de mes nièces plus âgée que celles du groupe ici présentes me fixe exagérément pour attirer mon attention. Son regard dont je comprends le sens me perce le cœur. Je connais ses envies : celle de venir se blottir dans mes bras, celle de chercher la moindre caresse, la moindre affection, le moindre mot de tendresse, d’encouragement, de compassion, une parole amicale, un simple regard avec un petit sourire lui suffirait pour la transformer en une fille comblée d’affection. Le bonheur est peu de chose !

                     Ton regard je le connais, déjà petite fille tu me suivais partout, étant présente près de moi, écoutant la moindre de nos conversations d’adultes, je me suis senti obligé de t’écarter de ma présence, en effet celles-ci ne te concernaient nullement. Pour toi celles-ci ne t’intéressaient pas, c’était ma présence qui importait à tes yeux, et le fait de pouvoir m’approcher afin que je m’intéresse à ta petite personne était pour toi  un cadeau du ciel et ce cadeau tu ne l’aurais sûrement pas partagé avec autrui

                     Vu ton jeune age, mon devoir d’homme me disait de m’éloigner de ton pouvoir de séduction afin de mieux te protéger. Belle tu l’es et depuis ta tendre enfance je t’ai vue te transformer. Depuis ces dernières années trop de méfaits se sont passés et ont été dévoilés justement par des relations proches qui ont été dépassées par leurs sentiments, leurs envies, leurs déviances. Trop confiantes les familles ne se méfient pas assez des relations amicales, fraternelles entre leurs enfants et leurs amis, leurs parents, leurs voisins. Combien de malades ont déjoué la confiance des parents afin de pouvoir accomplir leurs violences, leurs crimes sexuels sur ces enfants, sur ces adolescents.

                     Pourtant tes parents sont tous les jours présents à tes cotés. Le fait que depuis ton enfance, ne puisant la force  de trouver les mots qui conviennent pour leurs dire ton affection pour eux ; le fait que tu ne trouves pas le courage de t’abandonner pleinement dans les bras de Papa que tu aimes sincèrement, et de pouvoir lui dire délibérément : « Papa je t’aime ! » ; le fait que dans ton papa tu voudrais trouver ton idole pendant ta vie de jeune fille, font que tu retournes ton attention, ton affection, cet amour qui devrait lui être destiné sur moi en fonction de la difficulté de lui annoncer ton amour de fille.

                     N’osant parler avec ton père comment cela se fait il que tu m’ais choisi alors que je ne suis que ton oncle ;  pourtant je suis râleur, coléreux, instinctif, changeant, capricieux. Cela ne fausse aucunément  ton jugement. Après de longues conversations diverses tu m’as confié sans honte, comme si j’étais ton père, ces quelques paroles que tu aurais voulu lui faire entendre : « Papa je t’aime, regarde moi dans les yeux, j’ai vraiment besoin de ton sourire, de tes mots doux, de tes câlins, de tes caresses de toute ta tendresse, d’un petit moment d’affection, d’attention rien qu’un petit moment pour moi toute seule. Papa pour une fois ouvre moi grands tes bras que je puisse me blottir tout contre toi, au moins une fois ! Donne moi comme tous les pères qui adorent leur fille, donne moi la chaleur de ton cœur, dis moi ces mots que j’envie tant d’entendre ! Un seul je t’aime me suffirait ! Sache que je souffre de ton silence, de ton inaction à me prendre tout contre toi. Papa réveille toi, ma jeunesse fout le camp ! Ma vie m’appelle, après ce ne sera plus pareil, le cordon qui me lie à toi ne va pas tarder à se rompre car je suis devenue majeure il n’y a pas si longtemps.

                     Depuis ta majorité quand j’aperçois ton regard qui me fixe, en accord  et ayant prévenu mon entourage de mon affection pour toi, j’ouvre tous grands mes bras et tendrement je te serre tout contre moi te donnant la tendresse que tu souhaitais.

                     Si j’ai écris ce texte ce n’est point pour juger les parents, je n’ai aucune morale à faire, dans mon entourage beaucoup de jeunes filles éprouvent le besoin de me raconter la détresse qu’elles éprouvent devant ce gros problème qui les perturbent. Si cela pouvait ouvrir quelques yeux aux pères de familles, ces filles auront avancées énormément au point de vue affectif. Même si je sais que mon article ne sera pas lu je devais bien cela aux filles qui m’apportent toute leur attention.                         JOEL      

 

                                                  

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commentaires

C
oui des pères de famille sa ne voit que leurs travails et ne voyent même pas leurs enfants changés et ils ne voyent même pas k'ils ont besoins de leurs attentions de leurs affections et du moment pour leur parler et leurs dire leur pêne alors cela peut avoir des répercution sur le bien être de leurs enfants et cela il ne le voyent pas car eux aussi on leur soucis d'homme d'époux et de père mais cela devrait pas les empêchés de voir ce dont un enfant a besoins pour se construire. (ps: ne fait pas attention aux faute d'orthographe d'avance merci)
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C
beau recit belle ouvrage et oui les papas ou les mamans devraient faire attention a leurs progenitures leur parolent sont des fois blessante et il ne sans rende meme pas compte alors je leur dit aimer les du premier aux dernier
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C
Super réflection sur le sujet je trouve qui donne une leçon de morale et il fait réfléchir et il fait plaisir à lire merci à toi jojo.
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M
J'adore mes cousins cousines
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A
cousins couzine et ben didonc sa en fait du monde tout sa mdr
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