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3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 10:00

                           

                           
UN CRI

 

Encore ! Encore ! Mots lancés par les riches.

Notre belle société compte sur sa triche.
Notre monde ne vit que sur notre pognon                                                            

Tout est bon pour puiser dans cette corruption.                                                      
Sur le dos des ouvriers ce qui est plus moche

Les grands actionnaires s’en mettent plein les poches.

Puis à la conquête de nouvelles richesses

Tous leurs vils moyens utilisés nous agressent.

En trouvant des ruses pour appauvrir les gens

L’écart entre nous se creuse depuis longtemps.

Reviendront aux mêmes tous les meilleurs morceaux

En criant aux peuples :-  nous sommes tous égaux !

Assez ! Assez ! On ne veut plus les regarder

Tous ces insolents qui nous font la charité.

Tous ces gens hautains qui vivent dans des palaces

Ont remplacé leurs nobles cœurs par de la glace.

Fâcheusement certaines personnalités

Ont oubliées l’origine de leur passé.

Emblèmes vivants de nos futures nations,

Gisant sous tentes comme simples punitions,

Se trouvant subitement sans situation,

Sans vivres, sans un argent, sans habitation

Dans les bidonvilles crevant dans des cartons

Les pauvres ne reconnaissent plus leurs noms.

A quoi ont donc servi toutes les révolutions

Car depuis des décennies les mêmes trinquions.

Pitié ! Pitié ! S’élèvent des pays soumis.

La peur, la faim, le froid les ont anéantis.

Ici les hommes sont devenus fous pardi

Se battant pour du pain sec ou un bol de riz.

Que font tous nos copains tous nos pays amis

Qui vendent leurs armes à tous nos ennemis.

Fêtant ce siècle soit disant de paradis

Avides de richesses les gens n’ont point compris.

Les vieillards, les femmes et les enfants tout meurtris

Tombent sous les bombes et les coups de fusils.

Frères ! Frères ! Vous regardez notre misère,

Brisez nous nos chaînes que nos mains se libèrent.

Mais lentement d’un air dédaigneux ou surpris

Vous nous laisserez comme de la chianlie.

 

                               Joël              

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